De mauvais backlinks, ça peut coûter cher. Selectos en sait quelque chose

De mauvais backlinks, ça peut coûter cher. Selectos en sait quelque chose.

Selectos est un site web comme bien d’autres. Sauf que sa croissance a été fulgurante. Créée en 2016 par Robin Lespagnard, la plateforme belge,  située à Liège et spécialisée, d’abord dans la comparaison de produits high tech, puis dans tous les produits pour la maison, a très vite atteint, grâce à son savoir-faire, en matière de netlinking et de backlinks, plus de 1 million de visiteurs par mois, fin 2019. Un vrai jackpot !

Oui, mais voilà, Google, le moteur de recherche dominant, veille. Il analyse en permanence la qualité des backlinks. Car, c’est un des éléments clés qui lui permet d’évaluer la pertinence d’une page.

Rappelons qu’un backlink est pour un site web donné un lien pointé vers lui par un autre site web. On comprend que plus il y a de liens de cette nature et plus le site doit être un bon site. Google, du moins ses algorithmes, fait comme tout le monde. Quand tout le monde va au même endroit, c’est que ça doit être bien. C’est bien ainsi que tout un chacun fonctionne quand il consulte, par exemple, les avis et commentaires sur un établissement sur Booking.com ou sur Tripadvisor.

 

Des backlinks de complaisance, ça peut coûter très cher

Il peut alors être tentant, pour un site web qui en veut, de donner un coup de pouce au destin en achetant, d’une manière ou d’une autre, des backlinks de complaisance. 

C’est ce qu’a fait, d’une certaine manière, Selectos avec sa campagne de netlinking de 2019. Et ça a super bien marché. Jusqu’à ce jour de mars 2020 où Google a décidé de pénaliser le site pour ses pratiques contraires à ses consignes dans ce domaine.

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En un clin d’œil, Selectos a perdu toute sa visibilité et les revenus qui vont avec. En effet, en seulement quelques heures, Selectos a perdu près de 90 % de son trafic ! De 20 000 visiteurs par jour, Sélectos est passé à 1500 ! On comprend l’émoi de ses animateurs. 

Pourtant, 6 semaines après ce séisme, Sélectos a pu retrouver quelques couleurs. Grâce au travail de son équipe SEO. En travaillant d’arrache-pied, ses membres ont passé au peigne fin tous les backlinks et ont pu éliminer la plupart, 87 % pour être exact, des backlinks litigieux. Ce qui représente quand même les 2/3 de la totalité de ses backlinks.

Ils ont eu de la chance. Google a fini par accepter de revoir sa position. Mais, 6 semaines plus tard et en ayant perdu, de toute façon, en visibilité. Pour éviter de telles mésaventures qui peuvent être fatales, et à défaut d’avoir une maîtrise suffisante des consignes de Google, en matière de backlinks, mieux vaut savoir s’entourer des conseils appropriés, auprès de spécialistes reconnus comme, par exemple, ici.

Avec la covid-19, le e-commerce a fait un bond. Mais, la covid-19 a davantage été un accélérateur de tendance qu’un bouleversement dans les modes de consommation. Par conséquent, on n’en est qu’au début des batailles entre sites web pour faire partie des sites les plus vus et les plus visités. Autrement dit, les gagnants de demain. 

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