Les effets de cette augmentation des températures se font sentir dans certaines régions plus que d’autres. En effet, la combinaison d’un excédent d’ensoleillement, d’une élévation des températures et d’une pluviométrie en berne se traduit par un assèchement de la couche superficielle de beaucoup de sols.
Ce qui risque de compliquer un peu plus la tâche des éleveurs déjà atteints par les conséquences de la crise sanitaire.
Les spécialistes observent notamment que :
Plus globalement, c’est la partie Est de la France qui est la plus exposée au risque de sécheresse.
D’ailleurs, des pénuries d’eau commencent à être signalées. Le niveau des nappes phréatiques sont à leur plus bas en Alsace. Et dans le couloir rhodanien. Par certains côtés, la situation rappelle celle de l’été 2003. Cette année là, la canicule avait été durement ressentie.
Or, la climatisation reste faible dans les bâtiments résidentiels. Par ailleurs, les investissements se sont multipliés. Et malgré tout, le pourcentage des bâtiments tertiaires climatisés n’est que de l’ordre de 25 à 30 %.