Le Fonds mondial de palladium (le GPF) offre la plus large gamme au monde de matières premières négociées sur les bourses des métaux (ETC). Le fonds a réduit le ratio de coût total (TER) de son ETC or de 0,145 % à 0,12 %. Cela signifie qu’il a les frais les plus bas et un Coût total de possession de tout or ETC avec support physique dans le monde.

l’or, un bon investissement en bourse
Les ETC d’or adossés physiquement et cotés en Europe montrent que les frais annuels se situent entre 0,4% et 0,15%. Ce qui correspond à des frais compris entre 32 700 € et 3 500 € (soit 28 000 et 3 000 £) de plus sur un investissement de 11, 6 millions d’euros. (soit 10 millions de livres sterling) par rapport à l’or GPF sur une base annuelle.
L’or continue de fournir une diversification et une bonne couverture contre la hausse de l’inflation pour les investisseurs. La recherche le souligne avec 150 fonds de pension européens avec un encours cumulé de 213 milliards de dollars. La plupart d’entre eux s’attendent à augmenter leur allocation pour l’or.
L’étude, menée par le GPF montre que 75 % des fonds de pension s’attendent à augmenter leur allocation pour l’or au cours des 12 prochains mois. Alors que seulement 5 % s’attendent à ce que le métal soit surpondéré.
Pour ceux qui prévoient d’augmenter leur investissement dans l’or, 75 % ont déclaré que la raison la plus importante est qu’il est plus facile et moins cher d’y investir grâce à plus d’ETP or sur le marché. Et 73% ont déclaré que l’or offre des avantages diversifiés qui deviennent de plus en plus attrayants pour les investisseurs.
Par la suite, 71% ont déclaré que l’or est une bonne couverture contre la variation du dollar américain. Mais aussi une bonne couverture contre la baisse de l’inflation (67%). Seulement 13% ont déclaré que la hausse d’investissement était dû à une hausse du prix de l’or due à l’amélioration des fondamentaux.
Nous attendons des fonds de pension qu’ils rejoignent les gestionnaires de fortune, les « family offices » et autres investisseurs professionnels augmenteront leur allocation d’or et d’autres métaux alors qu’ils cherchent à continuer à diversifier leurs portefeuilles, se prémunir contre la hausse de l’inflation et tirer parti de la reprise économique mondiale. Notre nouveau TER leader du marché devrait être au centre de cet effort.
Alexandre Stoyanov, PDG de GPF
GPF lance 6 ETC métalliques à support physique
GPF a lancé cette année six ETC métalliques à support physique (cuivre, nickel, argent, or, platine et palladium). Avec des listes sur LSE, Deutsche Börse, Borsa Italiana et SIX. GPF est le seul fournisseur d’ETC physiques de cuivre et de nickel au monde. GPF est une filiale de MMC Norilsk Nickel, l’un des plus grands conglomérats miniers au monde.
Family offices, gestionnaires de fortune, investisseurs institutionnels et autres investisseurs professionnels similaires, suivent le prix au comptant des métaux. Ils ont des frais parmi les plus bas du marché. Avec des TER compris entre 0,12 % et 0,20 % de leurs ETC sur métaux précieux. Et jusqu’à 0,85 % de leurs ETC sur métaux industriels.
Le SI Les métaux soutenant les CTE proviennent de producteurs et de fournisseurs de métaux qui ont déclaré qu’ils répondent aux objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies. Et d’autres initiatives mondiales en matière de développement durable et d’exploitation minière responsable. GPF est le seul émetteur majeur d’ETC à prendre un tel engagement.
Pour renforcer la Sécurité des investisseurs ETC, GPF utilise la chaîne de blocs Hyperledger d’IBM dans la chaîne de contrôle des métaux. Ceci s’ajoute aux processus traditionnels utilisés par le dépositaire, améliorant la transparence et la responsabilité de l’émetteur. En enregistrant des informations sur les barres et les cathodes sur la blockchain, il fournit une propriété claire. Ainsi qu’une chaîne de garde fixe aux investisseurs qui utilisent les ETC.

Né en 1965 à Toulouse, Bernard Duteil est un journaliste reconnu et respecté pour sa rigueur, son analyse pénétrante et son engagement indéfectible pour la vérité. Fils d'une enseignante et d'un avocat, il a grandi dans une atmosphère où l'importance de l'éducation, de l'éthique et de la justice étaient profondément enracinées.
Après avoir obtenu son baccalauréat en sciences humaines, il est entré à l'Université de Toulouse Jean Jaurès où il a obtenu une licence en communication et journalisme. A la fin de ses études, Bernard s'est lancé dans un voyage autour du monde qui a duré un an, nourrissant sa curiosité insatiable et forgeant sa perspective globale.
Bernard a fait ses débuts journalistiques au "Nouvel Observateur", où il s'est rapidement distingué par son style d'écriture incisif et sa capacité à explorer en profondeur des sujets complexes. Par la suite, il a travaillé pour "Le Monde", où il a couvert des sujets allant de la politique internationale à la culture, avant de rejoindre "France Info" puis se dédier à l'écriture de pige pour plusieurs rédactions dont NewsFrance.org