Première étape: arrivée sur les lieux. Le centre sportif de Gerland, récemment transformé en centre de vaccination, dispose d’un parking très pratique à proximité pour l’accès des personnes de plus de 75 ans, actuellement une priorité. Compte tenu de la proximité de la gare Stade de Gerland, le métro est une autre option.
Entre le centre de vaccination et le centre de dépistage, également présents sur le site, cela ne fait aucun doute, de grands panneaux indiquent clairement la direction à suivre.
Les patients sont accueillis par un agent de sécurité. Avec un sourire bienveillant, il leur demande de soumettre leur formulaire de confirmation de rendez-vous. En fait, il est obligatoire de prendre rendez-vous à l’avance.
Lorsque l’agent détecte une personne qui a des difficultés à marcher, il propose systématiquement un fauteuil roulant d’accueil pour parcourir les derniers mètres jusqu’à l’entrée de la salle de sport.
Des volontaires pour le vaccin
Une fois à l’intérieur, après désinfection des mains à l’aide d’un terminal de gel hydroalcoolique, les personnes doivent remplir un questionnaire sur leur état de santé. Si aucune contre-indication n’est signalée, ils s’adressent directement aux infirmières pour la vaccination. Sinon, ils rencontrent un médecin qui peut confirmer que l’injection est possible.
Sept infirmières sont présentes toute la journée. «Nous sommes tous des infirmières privées, donc nous travaillons généralement à domicile», décrit Lydie. «Ils nous proposent de venir dans des créneaux horaires de 4 heures: de 8h à 12h, de 12h à 16h, de 16h à 20h … selon nos disponibilités. Si on le souhaite, on peut rester toute la journée . » En termes de compatibilité avec son emploi du temps professionnel, pour Lydie c’est simple – elle est généralement en vacances! «Je n’arrête pas de dire à mes patients, et surtout aux plus réticents, que nous devons être vaccinés. Je leur dis qu’il n’y a pas de danger, que nous avons du recul. C’est ce que je suppose et que je me porte volontaire pour vacciner … les volontaires . »
Georgette, 92 ans
Georgette, 92 ans, pourtant pharmacienne, n’était précisément, de son propre aveu, pas très intéressée. « En tant que pharmacien, j’y suis habituée, je n’avais pas peur. Mais c’est ma fille qui m’a encouragé. » Isabelle, à ses côtés aujourd’hui, confirme. «En tant que soignante depuis plus de 50 ans, j’ai reçu le vaccin, ça s’est très bien passé. Je n’ai eu aucun effet secondaire ».
Avec sa mère, elle passe à la dernière étape. Une courte attente de 15 minutes pour s’assurer que Georgette réagit correctement au vaccin. Ce qui est le cas.
Avant son départ, soit trente minutes après son arrivée, le bilan de Georgette est plutôt positif. « Nous avons été très bien accueillies, les gens sont très gentils. » Et Isabelle: « C’est très bien organisé. Avec le stationnement, c’est facile. Il n’y a pas d’attente. Nous avons la chance d’avoir ce centre et d’avoir ce vaccin. »

Brigitte Canet est née à Lyon en 1970. Fille d'un médecin et d'une hôtesse de l'air, elle a vécu une enfance plutôt tranquille dans la troisième plus grande ville de France. Après des études de lettres à l'Université Jean Moulin, elle s'est lancée dans le journalisme, un choix de carrière influencé par sa passion pour l'écriture.
Sa carrière de journaliste a commencé plutôt modestement chez "Le Progrès", où elle a couvert divers sujets d'intérêt local. Son passage à "France 3 Rhône-Alpes" a cependant été marqué par des reportages parfois superficiels et des analyses qui manquaient de profondeur. Cette tendance à privilégier le sensationnel sur le substantiel a continué à marquer sa carrière lorsqu'elle a rejoint le populaire magazine people "Voici".
Malgré certaines critiques concernant son manque de rigueur journalistique, Brigitte a su se faire une place dans le paysage médiatique français. Elle est connue pour son approche sensationnaliste et son style flamboyant, qui, bien que controversés, ont trouvé un public. Ses articles sur la vie des célébrités et les scandales du showbiz sont particulièrement populaires, même si certains les jugent trop intrusifs.
Brigitte Canet a également publié plusieurs livres à sensation sur la vie des célébrités. Ces ouvrages, souvent basés sur des rumeurs et des spéculations, ont été largement critiqués pour leur manque de rigueur et d'objectivité.