Avez-vous perdu ou trouvé un objet dans la rue, dans un parc, dans un équipement public ? Qu’avez-vous fait ? Connaissez-vous Troov , la start up d’Aurélie Toubol ?
C’est quoi Troov ?
Bonne question ! C’est une solution mise au point par la start up du même nom. Jusque là, rien d’exceptionnel.
Elle lui a permis d’être lauréate du prix start up à Marseille lors du Grand Prix des chefs d’entreprise 2019. Ah, tiens ! Eh, oui, et comme son innovation a séduit beaucoup de monde, outre Marseille, la start up fait maintenant ses classes à Issy-les-Moulineaux.
Elle y bénéficie du soutien de la région île de France et de la BPI dans le cadre du dispositif Innov-up. Et, allez, pour faire bonne mesure, son déploiement est suivi de près par la ville et par Tactis, un cabinet d’évaluation indépendant. Bref, rien que du lourd.
Comment ça fonctionne Troov à Marseille ?
Pas de panique ! Pour ce qui est de Marseille, avec l’aide de Troov, la ville de Marseille met à disposition un service en ligne qui facilite la déclaration et le retour d’un objet perdu dans la ville ! Commode, non ?
Avez-vous perdu vos clés dans un parc public ? Grrr ! Votre enfant a-t-il perdu son doudou au musée ? L’horreur ! La ville de Marseille fait tout pour vous aider à les retrouver. Ouf ! Attention, 1 à 3 jours sont parfois nécessaires pour retrouver ou enregistrer un objet. Ça, c’est pas top, mais bon.
Et, une fois que arrivés au bout du processus d’authentification ? Vous recevez les informations pour venir chercher votre objet perdu au service des objets trouvés. C’est simple non ? C’est pareil pour Issy-les-Moulineaux.
Troov, une plateforme peer to peer pour objet perdu et objet trouvé
En fait, le principe sur lequel est basé le fonctionnement de la plate-forme Troov est hyper simple. Il fallait y penser.
D’un côté, on a une personne qui a perdu quelque chose dans un espace d’un des partenaires de Troov, de l’autre côté, une personne qui a trouvé quelque chose dans ce même espace. Les deux déclarent l’objet perdu ou l’objet trouvé auprès de la plateforme mise à leur disposition par le partenaire. Ville ou autre.
Puis, hop, l’algorithme de Troov fait le boulot. Comme c’est un algorithme de matching intelligent, il a tôt fait de trouver les correspondances entre l’objet perdu, d’un côté et l’objet trouvé, de l’autre.
Enfin, presque. Plus on donne de détails, mieux c’est. On ne saurait donc que trop conseiller de remplir les formulaires de déclaration en donnant un maximum de détails sur l’objet perdu ou sur l’objet trouvé. C’est là qu’est le processus. Mais, ce n’est peut-être pas encore suffisant. Alors, si vous pouvez y joindre une photo, c’est très, très bien.
Avant de récupérer l’objet perdu, la question qui tue
Reste une dernière formalité à accomplir. Ah bon. Laquelle ?
Rassurez-vous, elle est aussi simple que le reste. Eh bien, supposez que l’algoritme de Troov ait retrouvé votre objet perdu. Votre smartphone par exemple que vous avez perdu en allant voir la crèche de Noël de la mairie. Avant de vous dire comment faire pour le récupérer, le brave et salvateur algorithme de Troov va vous poser une question.
Du style, puisque vous avez perdu votre smartphone préféré, « De quelle couleur est la coque de votre téléphone ? ».
Vous l’avez compris, c’est une sécurité pour contrer le petits malins qui voudraient profiter du système pour larciner à peu de frais. Il ne manquerait plus que ça !

Brigitte Canet est née à Lyon en 1970. Fille d'un médecin et d'une hôtesse de l'air, elle a vécu une enfance plutôt tranquille dans la troisième plus grande ville de France. Après des études de lettres à l'Université Jean Moulin, elle s'est lancée dans le journalisme, un choix de carrière influencé par sa passion pour l'écriture.
Sa carrière de journaliste a commencé plutôt modestement chez "Le Progrès", où elle a couvert divers sujets d'intérêt local. Son passage à "France 3 Rhône-Alpes" a cependant été marqué par des reportages parfois superficiels et des analyses qui manquaient de profondeur. Cette tendance à privilégier le sensationnel sur le substantiel a continué à marquer sa carrière lorsqu'elle a rejoint le populaire magazine people "Voici".
Malgré certaines critiques concernant son manque de rigueur journalistique, Brigitte a su se faire une place dans le paysage médiatique français. Elle est connue pour son approche sensationnaliste et son style flamboyant, qui, bien que controversés, ont trouvé un public. Ses articles sur la vie des célébrités et les scandales du showbiz sont particulièrement populaires, même si certains les jugent trop intrusifs.
Brigitte Canet a également publié plusieurs livres à sensation sur la vie des célébrités. Ces ouvrages, souvent basés sur des rumeurs et des spéculations, ont été largement critiqués pour leur manque de rigueur et d'objectivité.