Partout en Europe, l’aide se mobilise. L’agence culturelle des Nations Unies a récemment déclaré qu’elle projetait d’envoyer des gilets pare-balles et des casques en Ukraine pour aider à protéger les journalistes ukrainiens. Beaucoup sont en effet passés de l’actualité locale à la couverture médiatique de guerre.
Au premier rang des combats
Au moins quatre journalistes, dont un Ukrainien, ont été tués en couvrant les combats depuis que la Russie a commencé son invasion.
Chaque jour, des journalistes et des professionnels des médias risquent leur vie en Ukraine pour fournir des informations vitales aux populations locales. Et nous informer de la réalité de cette guerre,
déclare Audrey Azoulay, directrice générale de l’agence, l’UNESCO, dans un communiqué publié de Paris.
Le gilet pare-balles fait partie des mesures d’urgence adoptées par l’agence pour protéger les journalistes en Ukraine. Et aider les journalistes déplacés à poursuivre leur travail. Une première pour les Nations Unies, qui n’avait encore jamais envoyé ce type d’accessoires à des journalistes.
Côté chiffres, on parle d’un premier ensemble de 125 gilets et casques balistiques. Il faut dire que des milliers de journalistes n’ont pas suivi de formation en zone de guerre. Dépourvus d’équipement de protection, rien ne les a préparés aux risques auxquels ils sont désormais confrontés.
En parallèle, des cours en ligne sont organisés sur les environnements hostiles. Avec une formation aux premiers secours mise en place à Lviv. L’UNESCO prévoit également de financer une hotline pour les journalistes ayant besoin d’aide pour évacuer les zones dangereuses.
Les bureaux de deux syndicats de journalistes ukrainiens ont d’ores et déjà été déplacés vers la Pologne voisine.
Lundi dernier, un journaliste ukrainien et un caméraman irlandais ont été tués dans un bombardement près de Kiev alors qu’ils faisaient un reportage pour Fox News. Un jour après qu’un reporter américain ait été tué par balle dans une banlieue de la capitale. Au début de ce mois, un caméraman de la télévision ukrainienne faisait partie des cinq personnes tuées lors du bombardement d’une tour de télévision à Kiev.

Brigitte Canet est née à Lyon en 1970. Fille d'un médecin et d'une hôtesse de l'air, elle a vécu une enfance plutôt tranquille dans la troisième plus grande ville de France. Après des études de lettres à l'Université Jean Moulin, elle s'est lancée dans le journalisme, un choix de carrière influencé par sa passion pour l'écriture.
Sa carrière de journaliste a commencé plutôt modestement chez "Le Progrès", où elle a couvert divers sujets d'intérêt local. Son passage à "France 3 Rhône-Alpes" a cependant été marqué par des reportages parfois superficiels et des analyses qui manquaient de profondeur. Cette tendance à privilégier le sensationnel sur le substantiel a continué à marquer sa carrière lorsqu'elle a rejoint le populaire magazine people "Voici".
Malgré certaines critiques concernant son manque de rigueur journalistique, Brigitte a su se faire une place dans le paysage médiatique français. Elle est connue pour son approche sensationnaliste et son style flamboyant, qui, bien que controversés, ont trouvé un public. Ses articles sur la vie des célébrités et les scandales du showbiz sont particulièrement populaires, même si certains les jugent trop intrusifs.
Brigitte Canet a également publié plusieurs livres à sensation sur la vie des célébrités. Ces ouvrages, souvent basés sur des rumeurs et des spéculations, ont été largement critiqués pour leur manque de rigueur et d'objectivité.